A l'initiative de Christophe VERSINI, délégué des Jeunes Populaires de l'UMP pour la XVème circonscription, et d'Ariane CERUTTI, Déléguée de Circonscription, Benjamin
LANCAR le Président national des Jeunes Populaires et Conseiller régional d'Ile de France est venu dans une brasserie de la Place Gambetta afin de rencontrer les militants du XXème arrondissement.
Il est rare que des cadres de l'UMP se rendent dans le XXème, en particulier lors des campagnes électorales où ils sont eux-mêmes impliqués. C'est pourquoi nous tenons à saluer cette venue; témoignage d'un changement de considération envers les arrondissements de l'Est; délaissés depuis trop longtemps.
Avec une ponctualité helvétique, Benjamin est arrivé au lieu de réunion où l'attendaient quelques militants et sympathisants. Il a salué tous les présents et après une brève introduction prononcée par Christophe VERSINI, il est entré dans
un exposé d'une grande qualité et d'une grande précision sur l'état réel de l'économie française et des enjeux (et dangers) auxquels seraient confrontées les jeunes générations à très court terme.
Surtout si François HOLLANDE parvenait jusqu'au perron de l'Elysée
N'étant pas professeur de Sciences-Po et sachant son auditoire aussi allergique aux cours magistraux, Benjamin est vite passé à une séance de questions-réponses qui a certainement représenté plus de la moitié de sa présence.
Attentif et soucieux de chaque problème il a apporté des réponses. N'hésitant toutefois pas à avouer un manque de connaissance par rapport à des problématiques précises. Ce qui traduit là-aussi une rupture avec la classe politique parisienne traditionnelle.
Cette modestie et ce respect pour son auditoire ont été vivement appréciés. Lui-même s'est senti à l'aise et a manifesté spontanément son envie de revenir.
Apres le départ de Benjamin LANCAR, quelques militants se sont retrouvés pour dîner en regardant l'intervention de Nicolas SARKOZY à la télévision. Ceci a généré échanges, commentaires et reflexions , mais aussi de nombreuses crises de rire.
Une campagne électorale dans le XXème doit aussi laisser de la place pour la détente. C'est ce qui s'est produit en ce jeudi.
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