Ca y est , la campagne pour les élections présidentielles est lancée. Comme on pouvait s'y attendre les Socialistes en panne d'idées substituent l'insulte et l'arrogance aux propositions et aux projets pour notre pays.
Naturellement, la presse toujours aussi servile avec la Gauche, relaye les insultes et les insinuations tout en dressant des couronnes au candidat socialiste que les rédactions considèrent pourtant en secret comme falot et terne.
Mais les Français ne s'y trompent pas, et déjà on constate un considérable revirement dans certaines catégories de l'opinion. De plus en plus nombreux sont ces Français qui exprimaient une forme de déception vis à vis de Nicolas SARKOZY mais qui se rendent compte que le candidat socialiste patauge piteusement dans ses contradictions et improvise chaque jour un programme différent.
Dans un monde où les imbrications économiques font qu'un pays n'existe plus qu'au sein d'une zone géographico-politique comme c'est le cas de la France dans l'Europe, il serait calamiteux de confier le pouvoir à une personne qui n'a aucune expérience ministérielle ni des relations internationales. Imaginons le candidat socialiste au milieu des POUTINE, OBAMA, MERCKEL et HU JING TAO ?
Malgré le harcèlement médiatique, la raison progresse et celui qui se voyait déjà locataire de l'Elysée, distribuant les maroquins se retrouve à devoir justifier ses choix hallucinants.
Le candidat socialiste est curieusement peu désireux de cotoyer la presse qui pourtant le supporte à bout de feuillets et de micros; cherchant à éviter les questions gênantes.
Ce sont ses porte-paroles qui sont les vrais acteurs de cette campagne. Et comme ils sont nombreux il y a jusqu'à 4 versions différentes pour une seule question.
Nicolas SARKOZY, en dépis du traitement indigne que lui inflige la presse et les média, doit savourer le spectacle du PS.
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